Ayant célébré son 50e anniversaire en 2019, l’IWSC reste aussi pertinent aujourd’hui qu’il l’était lorsque le chimiste du vin Anton Massel a créé le format original en 1969.
Lorsque Massel a fondé l’International Wine & Spirit Competition, son objectif – et il l’est encore aujourd’hui – était de récompenser l’excellence des boissons dans le monde entier, en assurant la reconnaissance des meilleurs vins et spiritueux. L’IWSC établit depuis 50 ans une référence internationale en matière de qualité, se démarquant dans le monde surchargé des concours de l’univers des boissons avec des centaines d’experts mondiaux – y compris des acheteurs, des producteurs, des distillateurs, des sommeliers, des distributeurs et des influenceurs – jugeant les vins et spiritueux tout au long de l’année.
Au mois de mars, la vigne entre dans une phase de son cycle appelé « débourrement ». Cela signifie que les écailles protectrices qui recouvrent le bourgeon vont s’écarter, laissant ainsi apparaître la « bourre ». Ce seront les futures feuilles de notre plant de vigne.
Le débourrement marque la fin du repos hivernal de la vigne. Concrètement, les bourgeons entourés de leurs écailles – la bourre – commencent à pointer le bout de leurs feuilles. Cette phase du cycle de la vigne se produit en général au printemps, mais il arrive que les température printanières en fin d’hiver favorisent un débourrement précoce, à mi-mars. Car deux facteurs sont essentiels pour initier le réveil de la végétation : la chaleur et la lumière, et les deux en quantité suffisante. Si ces conditions sont réunies, les ceps de vigne reprennent leur activité : les racines se remettent à puiser l’eau et les nutriments dans la terre, la sève circule à nouveau, et la vigne produit des bourgeons qui vont ensuite éclore.
C’est une période des plus délicates pour nos vignes, car elles sont alors extrêmement fragiles : en cas de débourrement précoce, ou lors de gelées tardives (à fin avril), les températures négatives (à partir de -2°C) peuvent brûler les bourgeons et les petites feuilles tout juste sorties, qui sèchent et se fanent, laissant peu d’espoir de récolte à l’automne.
Au fil des siècles, la propriété du bas Armagnac et son eau-de-vie se sont taillés une réputation d’excellence.
« Pour faire un bon armagnac, il faut juste un bon terroir, du bon raisin, un bon alambic… et de bons chais aussi » : Gilles de Boisséson présente avec légèreté les atouts de son domaine, producteur d’eau-de-vie depuis le XVIIIe siècle …
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